29 mars 2008
Politique : Nicolas Sarkozy rend hommage à des sympathisants du Front National
Jean Valette d'Osia et Jean-Marie Le Pen
Rolande Birgy, dite « Béret bleu »
Mais, là comme pour le reste, il ne s'agit que de l'habituelle projection névrotique des mondialistes, qui consiste à accuser son ennemi de ses propres tares. Car ce sont bien les mondialistes qui passent leur temps constamment tournés vers le passé, à ressasser les drames de la Deuxième Guerre mondiale. C'est bien Sarkozy qui a décidé en 2007 de se rendre tous les ans au plateau des Glières pour rendre hommage à la Résistance, lui qui n'a de commun avec De Gaulle que ses reniements lors de l'abandon de l'Algérie française en 1962. Ce sont bien les mondialistes toujours qui traînent devant les tribunaux ceux qui donnent de l'histoire une version différente de leur version officielle. Et ce sont toujours eux qui interdisent à ceux qui ne pensent pas comme eux de déposer une simple gerbe de fleurs sur la tombe de Résistants...
Le Front National, lui, se réjouit au contraire que parfois ses adversaires politiques célèbrent Jeanne d'Arc, qu'il honore tous les 1er mai comme un symbole de résistance à l'envahisseur. Car dans sa sincérité pure et profonde à l'égard de cette Héroïne française, et dans sa certitude du message et de l'exemple qu'elle a transmis pour l'éternité, le Front National ne se permettrait jamais de confisquer sa mémoire, et il sait bien que l'hommage à Jeanne d'Arc est aussi de manière indirecte un hommage à ses idées.
De la même façon, si les mondialistes étaient sincères dans leur hommage aux Résistants, ils seraient ravis que quiconque les honore ; ils seraient convaincus que cela servirait leurs idées indirectement. S'ils pensaient vraiment que nous étions des fascistes, ils seraient ravis qu'en honorant les Résistants nous portions un coup de discrédit public énorme aux idées fascistes, et donc à nous-mêmes. Le Front National, à l'inverse, se réjouit que Sarkozy ait décidé tous les ans de rendre hommage au Maquis des Glières, et par conséquent, rendre hommage notamment à certains de ses militants les plus éminents, et donc à ses idées.
Jean Valette d'Osia et Jean-Marie Le Pen
Enfin, sur le principe de résistance même, n'en déplaise à tous les collabos qui nous gouvernent - Sarkozy en tête - qui ont vendu la France et sa brillante civilisation à la crasseuse dictature consumériste internationale, c'est le Front National qui démontre depuis 35 ans une résistance héroïque à la persécution politique, judiciaire et médiatique. Car pour résister, encore faut-il une puissance extérieure supérieure qui vous domine et vous bâillonne, ce que ne subit aucun parti en France, sauf le réel opposant au système, le Front National.
Et en ces temps de mondialisation accélérée par le valet américanolâtre de l'Elysée, et d'aveuglement généralisé des Français abrutis par la sous-culture mondialiste télévisuelle, c'est notre honneur et notre bonheur, nous Patriotes, de résister, jusqu'au jour où la Vérité reprendra ses droits.
Liens et sources :
• Colloque du conseil scientifique du Front National, « D'une résistance à l'autre, L'histoire en question de 1940 à 1993 ». Témoignage de Jean Valette d'Osia.
• « Tom Morel, héros des Glières », préfacé par Nicolas Sarkozy.
• Général Jean Vallette d'Osia : un Héros français, par Pierre Vial.
• Rolande Birgy, « Frontiste et honorée à Jérusalem »
• Le Pen à Morette, A2, 29/11/97, INA. On notera la remarque affligeante de la journaliste - qui n'a du résister qu'à la dignité dans sa vie - qui précise insidieusement que Jean Valette d'Osia n'a pas combattu sur le plateau des Glières, sous-entendant qu'il ne méritait pas de venir rendre hommage à la Résistance. Mais comme il n'est pas dit dans ce minable reportage de perfide propagande anti-FN, Jean Valette d'Osia fut arrêté en 1943 par les Allemands alors qu'il avait créé l'Armée secrète de Haute-Savoie, dont le Maquis des Glières, ce qui ne le plaçait pas en position de combattant lors notamment de la bataille des Glières en mars 1944. Mais Valette d'Osia, torturé pendant son arrestation, réussit à s'évader puis rejoint Londres, puis Alger, où il continua d'œuvrer pour la Libération de la France. Il fut ensuite un des premiers à être entré dans la ville de Lyon libérée. Dès lors, comme colonel, il prend le commandement de la division alpine FFI (future 27e division alpine) reconstituée et continue de chasser les Allemands jusqu'en Italie. Mais tout cela, aux yeux des petits journaleux collabos de France 2, ne semblait pas donner le droit à Jean Valette d'Osia le droit d'honorer la mémoire de ses camarades de combat.
• Dépot de Gerbe de Jean-Marie Le Pen, Journal A2 20h, 29/11/1997, INA.
Vérité sur le FN
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