Immigration-invasion : Qui a ouvert la boîte de Pandore ?

Se croyant sans doute mandatées par le Tout Puissant pour séparer le bon grain de l’ivraie, quelques plumes serviles viennent de nous apprendre que le débat sur l’identité nationale avait failli « déraper ». On nous fait savoir, avec beaucoup de finesse, qu’il y aurait eu des propos « limites » lors des débats. Ce qui confirme bien que, dans ce pays, la liberté d’expression est sous surveillance. Et qu’en effet, il est plus facile pour les autorités publiques de légiférer pour sanctionner les victimes qui, en se plaignant, inciteraient à la haine, plutôt que de tancer ou de punir sévèrement ceux qui sont à l’origine des désordres, parfois très graves, lesquels provoquent des souffrances qui ne peuvent que susciter la colère légitime de ceux qui les subissent. Il ne faut pas inverser les choses.

Est-ce qu’il est possible de comprendre que tout le monde n’a pas une âme de masochiste pour se complaire dans le syndrome de Stockholm, par lequel on finit par aimer son bourreau ?

Faut-il être aveugle aussi pour prétendre que toutes les immigrations se ressemblent. Si l’immigration d’avant-guerre (et elle était plus démunie que l’actuelle) n’a jamais perturbé ni obligé le pays à remettre son identité en cause, celle d’aujourd’hui, en revanche, n’en finit pas de causer des tracas par ses revendications et ses éclats. C’est donc qu’elle est différente de la précédente. Et c’est dans cette différence que réside la difficulté, difficulté aggravée, d’ailleurs, par le fait qu’on ne veut pas la reconnaître.

Pour ne fâcher personne et pour ne pas trahir le dogme, on se ment et on se leurre, en s’enfonçant dans l’erreur. Et cette erreur obère l’avenir de notre prospérité. C’est cela qui angoisse nombre de nos compatriotes. Qui oserait les condamner ? Ceux qui laissent prospérer les spectacles révoltants qui portent atteinte à notre dignité de citoyen français et à celle de notre Nation ?

Qui pourrait le nier ? Tout nous démontre que nous ne sommes plus en présence d’une immigration ordinaire qui respecte le pays d’accueil.  Qui ne voit pas dans les débordements et les récriminations dont nous sommes les témoins la marque d’une immigration de conquête ?

Hélas, tout porte à croire que si, à la fin du premier conflit mondial, il y a eu des Madelon pour servir à boire, aujourd’hui, ce ne sont pas les Ganelon qui manquent, pour servir la soupe.

Que celui qui a ouvert la boîte de Pandore la referme vite, … s’il le peut.

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