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18 janvier 2010

Jean-Marie LE PEN à Vitrolles

JMLPVitrolles

Devant ses  colistiers, Jean-Marie Le Pen, la tête de liste aux élections régionales et Président du F.N, a animé hier à Vitrolles une grande journée de mobilisation évoquant tour à tour la nécessité de notre implication dans cette bataille, nos réelles chances d’obtenir un score important, et la mise en place du dispositif de campagne dans chacun des départements de la région PACA. L’après-midi était consacré aux photos de groupe et bien sûr à la présentation par Jean-Marie LE PEN de l’ensemble des colistiers à la presse.

C’est une liste véritablement capable de gérer la région qui est présentée au suffrage des électeurs, une liste où l’ensemble des compétences sont réunies. Une liste d’hommes et femmes courageux dont le langage est celui de la vérité et de l’action. C’est aussi une liste rajeunie, Jean-Marie LE PEN ayant souhaité que toutes les générations soient représentées. C’est enfin une liste très représentative qui a été mise sur pied puisque tous les métiers, tous les secteurs géographiques, sont rassemblés. Bref, c’est une équipe à l’image des Provençaux, Alpins et Azuréens soudée et animée par le désir de changement des électeurs et électrices de notre région ainsi que par leurs convictions que les colistiers de Jean-Marie LE PEN se lancent dans la bataille !

————

Intervention de Jean-Marie LE PEN à Vitrolles, le 17 janvier 2010

Pourquoi le Front National va remporter un grand succès aux élections régionales

Mesdames et Messieurs, Chers amis,

Nous voici réunis pour l’annonce officielle de la liste du Front National pour les élections régionales de mars prochain.

Cette liste est promise à un grand succès :

Tout d’abord parce que plus que jamais les sujets d’actualité nous ont donné autant raison. Jamais nos thèmes n’ont été autant au centre du débat politique.

I- le Front National au cœur de l’actualité politique

Tout d’abord en ce qui concerne le débat sur l’identité nationale. Débat d’une réelle importance mais dont la mise en œuvre n’était justifiée aux yeux de Sarkozy et de Besson que par le besoin de bénéficier des voix des Français qui avaient cru en 2007 que l’élection de Sarkozy allait changer les choses.

Ensuite, plus récemment, sur le droit de vote des immigrés.
M. Besson, toujours lui, ministre immigrationniste, s’affiche en faveur du droit de vote des immigrés comme pour justifier du fait qu’il est toujours de gauche et certainement pour faire bonne figure alors que ses anciens amis socialistes l’accusent de traitrise. Mais c’est justement là que le bat blesse : Les français se sont tournés vers Sarkozy en 2007 en se disant qu’avec lui, enfin, ils auraient une politique de droite, après 12 ans de Chirac ! Las, avec Sarkozy ils ont eu Martin Hirsch, Fadela Amara, Bernard Kouchner, et bien sûr Eric Besson, ministre socialiste qui régularise plus de clandestins qu’il n’en expulse. Plus de 20 000 clandestins ont été régularisés en 2009, c’est-à-dire plus que de clandestins réellement expulsés !
Pour 12 Afghans expulsés en 2009 en France, 1 000 l’ont été par le gouvernement de gauche de Grande-Bretagne.

II- La France dans une situation dramatique

Mais de façon générale, en dehors des sujets qui font la une de l’actualité politique, c’est toute la situation actuelle de la France qui nous donne raison :

1- Le torrent migratoire

Tous les ans, alors que la France naturalise 150 000 étrangers, ce sont officiellement 175 000 immigrés supplémentaires qui se sont installés en 2009, auxquels on peut ajouter au moins autant d’illégaux.

Alors que M. Besson se vante d’expulser 30 000 clandestins de métropole, 10 000 de ces retours sont « aidés », c’est à dire que les immigrés sont renvoyés avec un pécule de 300 €. Il s’agit essentiellement de Roms bulgares ou roumains qui reviennent d’ailleurs 15 jours + tard puisqu’ils en ont le droit.

Pour 100 000 infractions constatées à l’entrée et au séjour (sur un total probable de plus de 250 000 infractions réelles) : seules 20 000 expulsions réelles sont effectuées.
C’est-à-dire que 80 % des clandestins interpellés sont relâchés par la justice ou l’administration.
Et d’ailleurs, souvenez-vous de l’affaire du squat de Cachan qui avait défrayé la chronique en aout 2006 : sur les 238 clandestins, 231 ont été régularisés !

Toute cette immigration coûte à la France 70 MM€ par an en dépenses de scolarisation, d’hospitalisation, de services publics, d’aides sociales, de lutte contre la délinquance…

2-l’explosion de l’insécurité

En matière d’insécurité aussi, les Français sont floués. Cette semaine encore, le ministre Hortefeux s’est glorifié d’une prétendue baisse de la délinquance.
Quelle arnaque quand on sait que la seule explication à ce phénomène de décrue statistique vient du fait que les Français ne vont même plus porter plainte. Selon l’Observatoire National de la Délinquance, ce sont 90 % des faits répréhensibles qui ne sont plus signalés aux services de police.
En réalité, plus de 8 M de crimes et délits qui ont lieu tous les ans.
En 2003, date à laquelle M. Sarkozy était ministre de l’intérieur moins de 350 000 faits de violences aux personnes étaient constatés. Aujourd’hui, ce sont plus de 450 000, soit une augmentation de presque 30 % !
Et rien n’annonce de changement puisque le budget 2010 prévoit une baisse de 2700 postes équivalent temps plein pour la Police et la Gendarmerie et un budget de la justice en diminution de 900 M€.

3- l’effondrement de l’économie

Concernant l’économie, l’UMPS ayant jeté la France dans le tourbillon mondialiste, la crise mondiale frappe de plein fouet l’économie française qui s’est effondrée en 2009 de 2,3 %, c’est à dire la plus forte récession depuis la 2e guerre mondiale.
Pour la 6e année consécutive, la balance commerciale est déficitaire : 50 MM€ en 2009 alors que dans le même temps, l’Allemagne enregistre un excédent commercial de plus de 17 MM€.
Plus de 70 000 entreprises ont déposé le bilan l’an passé.
Les dépenses d’équipement dans l’industrie sont revenues au niveau de 1984 alors que la production industrielle a chuté de 13,5 % depuis 2000, signe de la désindustrialisation croissante de notre pays.

4- la ruine de l’Etat

Quant au budget de l’Etat, le déficit a atteint 140 MM€ en 2009, soit plus de 8 % du PIB ;
La dette atteint le chiffre vertigineux de 1 500 M€ et représentera plus de 90 % du PIB en 2013.
Et pourtant, en 2 ans, ce sont 20 taxes nouvelles qui ont été créées par Sarkozy : Taxe sur les assurances et les mutuelles, sur les ordinateurs, sur le poisson, sur les huiles moteur, etc.
Et bien sûr la fameuse taxe carbone retoquée par le Conseil constitutionnel, mais qui verra tout de même le jour cette année à hauteur de 17 € par tonne de CO2 dans un premier temps, avant qu’elle n’augmente les années suivantes.
2009 fut aussi l’année des records pour les PV : 21 M d’amendes pour 1 total de 1 MM€ !

5- la misère sociale

En ce qui concerne le social, la situation est par conséquent dramatique : plus de 5 M de chômeurs réels, avec une augmentation de 600 000 chômeurs officiels supplémentaires en un an.
Leur nombre a augmenté de 30 % en 1 an. Et c’est sans comptabiliser les chômeurs partiels dont le nombre a été multiplié par plus de 5 en un an pour atteindre le nombre de 320 000.
Le nombre de chômeurs longue durée qui ne sont plus indemnisés passera cette année le cap du million.
Dans un système mondial de libre échange, nous sommes en concurrence directe avec les pays du tiers monde. C’est ainsi que 700 000 emplois industriels ont été perdus depuis 2002, 200 000 rien qu’en 2009, essentiellement eu profit de la Chine.
8 M de pauvres, c’est à dire touchant avec moins de 900 € par mois, vivent en France.
600 000 personnes âgées survivent avec moins de 628 € par mois.
Bref, les conséquences de la gestion de l’Etat par M. Sarkozy et ses amis est dramatique, et à tous les niveaux.
III- le bilan de la gauche régionale

Mais quand les socialistes prétendent faire le contrepoids régional à la déroute de l’Etat, c’est une gigantesque plaisanterie : leur bilan est tout aussi mauvais !

1- la gabegie régionale

On assiste à une explosion des dépenses de fonctionnement et de communication dans les régions socialistes. Ces budgets, entre 2004 et 2009 ont explosé de 85 %. Parmi ces dépenses, ce sont les frais de personnel qui ont le plus fortement augmenté (+410 %) et ce, bien avant les transferts liés à la décentralisation. Les charges générales qui intègrent notamment les dépenses de communication ont été multipliées par 4 depuis le début de la mandature en 2004.

Ces dépenses lourdes ont en fait un seul but : augmenter la clientèle électoraliste.

Derrière les augmentations massives de la fiscalité, des dépenses de fonctionnement et de communication, se cache la volonté de se servir des régions comme d’un contre pouvoir, et cela se fait au détriment des ménages et des entreprises qui depuis 2004 paient de nouveaux impôts.

Ainsi, le budget de PACA pour 2009 représentait 1,8 milliards d’euros. Mais il a fallu emprunter 281 millions d’euros pour le boucler.

En PACA, la gauche en 12 ans, a augmenté les impôts régionaux de 95 % et la dette de 110 % :
- en 2008, la Région a dépensé 7,70 fois plus en fonctionnement qu’en investissement,
- la Région octroie plus de 200 Millions d’euros par an aux associations, soit près de 12 % du budget total,
- parallèlement, les dépenses d’équipement par habitant sont passés en de 100 euros, à 30 euros en 2008.

Les Seuls progrès de la Région concernent l’endettement et les impôts : il faut absolument que la Région joue son rôle de coordinateur du développement économique vis à vis des citoyens et des entreprises, et donne la priorité dans son budget à l’aide à l’investissement. Or celui-ci stagne : de 558 millions d’euros en 2008 il est passé à seulement 570 millions d’euros en 2009. C’est totalement insuffisant. Pourtant les frais de représentations ne cessent d’augmenter de même que les subventions à des organismes dont il faudrait faire un sérieux audit pour connaître leur véritable utilité.

2- La PACA dans une situation sociale dramatique

Résultat de toute cette gestion calamiteuse, dans tous les départements de Provence-Alpes-Côte d’Azur, la pauvreté est plus forte qu’au niveau national.
Et même le travail ne protège pas de la pauvreté : les travailleurs pauvres et leur famille représentent près de la moitié des personnes pauvres de la région. Un quart des salariés de PACA touche un salaire inférieur à 900 euros par mois.
Plus de 15 % des habitants de Provence-Alpes-Côte d’Azur vivent sous le seuil de pauvreté. 720 000 personnes perçoivent moins de 900 euros par mois. C’est la PACA qui concentre le plus de ménages pauvres de Province.
Dans la région, sur 450.000 salariés de 16 à 29 ans, près d’un sur deux (44,2 %) touche moins de 80 % du smic.
Nous assistons véritablement à la tiers-mondisation de notre structure sociale : une petite partie de la population, celle qui veut que rien ne change, a des revenus de plus en plus élevés. L’importance de la classe moyenne se réduit année après année pour laisser place à une proportion de désœuvrés de plus en plus importante.
Selon une étude de l’INSEE publiée il y a quelques semaines, un quart des salariés de Provence-Alpes-Côte d’Azur gagne en effet moins de 900 euros par mois.

Dans la région, sont dénombrés plus de 130 000 travailleurs pauvres. En y ajoutant les conjoints et les enfants, ce sont en tout plus de 320 000 personnes qui sont concernées, soit près de la moitié des personnes pauvres de la région ! le travail ne protège même plus de la pauvreté.
Et aujourd’hui, alors qu’une crise économique systémique que j’avais d’ailleurs été le seul à prédire, et de façon précise, dès juin 2008, frappe notre pays et notre région en particulier, cette situation ne va faire qu’empirer.

Ceux qui tiennent les manettes, dans les Conseils généraux, au Conseil régional, au gouvernement ou au Parlement européen, appliquent toujours les mêmes vieilles recettes qui ont toutes abouti au même résultat : la ruine économique et sociale.

En PACA, Vauzelle oscille entre les incantations socialistes et le saupoudrage clientéliste.
Le résultat ? Je viens de vous l’exposer : une régression sociale inégalée.
Il est grand temps que les choses changent.

IV- nos grands projets de gestion régionale

Et pour sortir la Région de l’ornière dans laquelle elle a été jetée, nous proposons des axes de gestion régionale efficaces avec la ferme volonté de la faire évoluer selon les valeurs nationales indispensables à son renouveau, qui constituent autant d’axes forts en totale rupture avec le Système actuel :

- L’un des tous premiers objectifs que nous poursuivons, en ces temps de chômage de masse, c’est la libération des énergies bridées par le fiscalisme et la bureaucratie. Cela passe par le refus de toute hausse d’impôts : si je suis élu à la Présidence de la Région, je m’engage à opérer une décrue fiscale sur l’ensemble du mandat.

- Une autre priorité est l’exigence de sécurité, notamment dans les lycées et les transports qui dépendent de la région, et où trop souvent les voyous font la loi. La Région ne saurait être comme aujourd’hui un simple bailleur de fonds insensible à ce qui se passe concrètement dans les équipements qu’elle finance. La sécurité est la première des libertés, et les victimes de l’actuelle augmentation de la criminalité sont les plus faibles : personnes âgées, adolescents, femmes. Nous créerons les équipements de protection, de surveillance, et nous donnerons les moyens aux services de sécurité de les empêcher de nuire.

- La défense de l’emploi passe par le développement de l’apprentissage et l’amélioration des politiques de formation professionnelle. Un audit de celles-ci s’impose, afin de distinguer celles qui débouchent sur de véritables métiers de celles qui débouchent sur le chômage, après que l’on ait fait miroiter à de nombreux jeunes gens des espérances trompeuses. Respectant les choix des familles et des jeunes gens, nous ferons en sorte que les métiers manuels cessent d’être les parents pauvres de l’enseignement.

- En ce qui concerne le fonctionnement de l’assemblée régionale, lorsque se pose des problèmes relativement à des choix publics engageant la vie de nos compatriotes, nous proposons le recours au referendum populaire, comme c’est le cas habituel en Suisse, par exemple, afin qu’ils soient directement consultés.

- Une réforme des commissions de marché dans le sens d’une plus grande transparence s’impose également, afin que nous disposions de meilleurs moyens d’appréciation. De nombreuses et graves affaires de corruption se sont produites en PACA qui défraient encore la chronique. Une vigilance toute particulière s’impose.

- En matière de solidarité, nous souhaitons mettre l’accent sur la famille, cellule de base de la société, et première victime des politiques actuelles. Il n’entre pas dans nos possibilités financières de compenser les pertes qu’elle subit. Du moins pouvons nous nous y efforcer, dans toute la mesure du possible. Nous nous engageons à mettre la politique sociale de la région au service des familles françaises, par des actions sur le logement, et par des aides ciblées sur celles qui le méritent et qui en ont réellement besoin, en facilitant notamment l’accession à la propriété des logements sociaux.

- Dans le domaine de l’aménagement du territoire et de l’environnement, nous devons contribuer à la sauvegarde du patrimoine naturel, menacé de bien des façons, mais en premier lieu par le risque de disparition de nos paysans et pêcheurs, auxquels les projets de réforme de la politique agricole ou de pêche européenne s’apprêtent à porter un coup fatal. Pour la survie du monde rural, il faut favoriser une agriculture de terroir et la constitution de filières de production équilibrées, encourager la pluriactivité en liaison avec les secteurs du tourisme, de l’environnement et des loisirs, promouvoir l’installation des jeunes et la diversité de l’agriculture.

- La priorité concernant les départements alpins consiste à les désenclaver. En 12 ans de présidence de région, le socialiste Vauzelle n’a pas construit un seul kilomètre d’autoroute. Les Bas-Alpins et les Hauts-Alpins paient au prix fort cet enclavement voulu par un exécutif régional pris en otage par les Verts. Je m’engage à faire enfin boucler le tronçon entre Gap et Grenoble, mais aussi entre Digne et Sisteron. Nul développement économique n’a jamais vu le jour sans moyens de communication performants ;

- En outre, parmi les politiques de préservation de l’environnement que nous entendons mettre en œuvre, nous souhaitons développer la recherche en matière d’énergies alternatives non polluantes, de gestion de l’eau, bien essentiel qui tend à devenir rare, et de traitement des déchets.

- En matière d’urbanisme, nous nous engageons à rétablir les équilibres et harmonies nécessaires entre villes et paysages, à privilégier le recours à une architecture enracinée tenant compte des traditions et des styles locaux de nos terroirs, à rejeter l’urbanisation anarchique. La coûteuse « politique de la ville » a échoué, car ce n’est pas en repeignant les façades que l’on donne au corps social la cohésion qui lui fait défaut. Nous affecterons les moyens qu’elle absorbait au logement des jeunes en formation, des personnes âgées, des personnes handicapées et de nos compatriotes privés de domicile par l’injustice et la misère.

- S’agissant de l’économie et de l’emploi, ce serait mentir à nos compatriotes que de leur affirmer que la région peut, avec ses seuls moyens, et dans un contexte international et national qui ne s’y prête pas, résoudre à elle seule tous les problèmes. Aux programmes souvent hasardeux et distribués selon des critères qui contiennent toujours une part d’arbitraire, nous proposons de substituer une politique volontaire de baisse de la pression fiscale sur les entreprises, et spécialement celles qui s’engageront à embaucher des chômeurs, à accorder dans ce domaine la priorité aux Petites et moyennes entreprises, les plus créatrices d’emploi, y compris les artisans, les commerçants, et les professions libérales. A l’heure ou nombre d’industries françaises subissent de plein fouet les effets d’une concurrence souvent déloyale encouragée par la politique mondialiste d’ouverture des frontières, nous proposons la création de labels de qualité et d’origines de PACA, ainsi que la création d’un observatoire des importations et délocalisations, destiné à soumettre aux pouvoirs publics les pratiques de dumping social avantageant certains produits importés, les abus de délocalisations, les pratiques de contrefaçon, les fraudes diverses.

Tels sont les axes de gestion régionale que nous soumettons à l’assentiment des habitants de PACA. C’est en enracinant notre modernité dans la tradition française, portée autrefois par notre région à un exceptionnel degré d’excellence, que nous serons dignes de ceux qui nous ont précédés.

Forts de ces propositions de bon sens dans un contexte où tous les autres partis politiques ont trahi, la possibilité de remporter une belle victoire est évidente.
Peut être même plus qu’une simple victoire : alors que la tête de liste des Verts a affirmé qu’elle refuserait de s’allier au second tour avec des personnalités ayant maille à partir avec la justice (suivez mon regard !). La possibilité d’une quadrangulaire est très forte. Et dans ce cas, nous avons toutes les chances de remporter la Région.

Mais pour cela, je profite de l’occasion qui m’est ici donnée pour vous appeler solennellement à prêter de l’argent pour cette campagne. Alors que toutes les conditions sont réunies pour que nous obtenions un grand succès électoral, nous avons besoin d’argent pour financer nos campagnes à hauteur du remboursement de l’Etat. Demandez autour de vous, aux membres de votre famille, à vos amis, à vos connaissances, à tous ceux qui nous soutiennent et qui peuvent prêter même s’ils ne sont pas candidats. Ils y seront d’ailleurs financièrement avantagés puisque remboursés avec un taux d’intérêt deux fois supérieur à celui proposé par le livret A. Ce faisant vous nous participerez à financer les affiches, les tracts, les locations de salles, etc. Tout ce dont nous avons besoin pour réussir cette campagne. Alors participez aussi financièrement à forger les armes qui ferons notre victoire !

Retrouvez le reportage photo ici

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