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23 septembre 2010

J’avais un camarade

louis_aliotPar Louis Aliot, ancien secrétaire général du Front National, conseiller régional Languedoc Roussillon, directeur de Nations Presse Magazine

Il n’y a pas grand-chose à dire si ce n’est que le miracle n’a pas eu lieu.

Le Front National perd un combattant et nous, un camarade. A titre personnel, je perds mon ami, celui qui était devenu mois après mois, un confident, un témoin, un frère…C’est tellement rare en politique de connaître des gens droits, fidèles, sincères, francs…

Je me souviendrai toujours de ses colères, de ses passions, de sa générosité, de sa bravoure, de son courage, de sa solidarité, mais aussi de ses inquiétudes, de ses doutes et de ses désillusions. Il était réellement un être à part.

Face à la maladie, il m’aura littéralement époustouflé tant sa résistance a été héroïque, permanente, sans concession…Tous les jours, j’étais ébloui par sa volonté et par son ardeur à mener ce combat, son dernier combat…

Nous parlions souvent de « l’après » et de l’au-delà. Sa foi constante et sa passion pour la Sainte Vierge l’ont beaucoup aidé à surmonter la maladie et ses terribles conséquences.

Mes pensées vont évidemment à sa tendre épouse, à ses enfants et à sa petite fille dont il me parlait si souvent.

J’ai aussi une pensée particulière pour sa mère, pour les natifs de Bône et tous les bâtisseurs de l’Algérie française qui ont tant souffert et qui souffrent encore de la trahison gaulliste.

Alors, désormais, dans notre vie, dans ma vie, il va y avoir un grand vide. Mais quelle leçon de vie et d’espoir il m’aura donnée.

Jusqu’au bout il aura défendu les valeurs qui nous sont chères, la chrétienté, l’empire, la France éternelle…Il voulait voir notre victoire car il pensait que nous y arriverions. Il nous aidera désormais d’une autre manière, mais je sais qu’il veillera sur nous.

NPI continuera à mener ce combat, fidèle à ce que nous nous étions promis dès l’origine.

Nous nous reverrons. Ce n’est pas une croyance, c’est une évidence…

Jamais nous ne t’oublierons.

Tu ne quitteras jamais mes pensées et mes prières…

Adieu Jacques

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