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21 octobre 2009

VELO’V : LE REVERS DE LA MÉDAILLE DES PROJETS ÉCOLOS DANS LE GRAND LYON

On connaît les projets socialo-écolo-communistes qui dirigent le Grand Lyon : harceler au maximum les automobilistes pour les obliger à prendre les transports en commun. Les Gauchos suppriment donc des parkings et des voies de circulation, établissent des amendes salées pour mauvais stationnement, etc. L’objectif officiel discutable, c’est l’écologie. Mais il y en a encore un autre : contrôler les déplacements des citoyens et supprimer ainsi l’une des rares libertés qui leur restent encore : la liberté de déplacement. C’est l’économie marxiste du plan qui pourtant a ruiné les économies des pays soviétiques. Certes, le Front National ne s’oppose pas aux transports en commun, mais refuse de les considérer comme l’unique moyens de se déplacer…

Ce que les gauchos ne disent pas non plus, c’est que leurs transports en commun coûtent très cher. Les billets de bus et de métro sont largement subventionnés par les collectivités. De ce fait, plus il y a des transports en commun, plus le contribuable est prié de payer. L’utilisateur imposable paye donc deux fois pour son billet : une fois par les impôts locaux, une autre fois en achetant un ticket de transport. C’est le comble !

Dans le Grand Lyon, les transports en commun sont gérés par l’entreprise GC Decaux. Sa filiale Cyclocity s’occupe d’un autre moyen de transport mis en place par les gauchos pour contrer les voitures : les Velo’V. Certes, ces vélos connaissent un grand succès. Mais parce qu’eux aussi sont largement subventionnés par la communauté urbaine. Et malgré tout, Cyclocyty accuse une perte annuel de 4 millions d’Euros.

En effet, il faut savoir que l’achat d’un Velo’V coûte en moyenne 1.000 €. A cela s’ajoutent 1.000 à 1.500 € de frais annuels d’entretien par vélo ! Les vols, 400 par ans, aggravent la situation, sans parler des dégradations volontaires nécessitant 300 à 400 réparations par jour. Peu étonnant alors que les prix pour les usagers vont augmenter pour essayer de combler le déficit. Des licenciements chez Cyclocity sont également prévus. Du social ? Merci la gauche !

Côté salariés, c’est donc la misère aussi. Les conditions de travail des employés de Cyclocity n’ont jamais été bonnes et se sont même rapidement dégradées ces dernières années : des salaires de misère, absence de lavabos et de savons dans les ateliers de maintien (!) ; on entend même des accusations de harcèlement. Le comble, c’est qu’en juin dernier, un atelier technique de Cyclocity situé dans le premier arrondissement de Lyon a subi une coupure d’électricité pour… non paiement de facture !

Il est déplorable que de telles conditions de travail se soient installées dans une ville dirigée depuis 1999 par une municipalité de gauche qui a pourtant toujours les mots « social » et « solidarité » à la bouche. Honte à eux !

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