Eric Besson KO assis !
Face à Eric Besson, Marine Le Pen a démontré, et ce malgré les tentatives d’obstruction du renégat socialiste déguisé en ministre UMP, que la politique qu’il menait était faite pour non seulement favoriser l’immigration sous la pression du patronat mais aussi pour provoquer une « discrimination positive » anti-française.
Reprenant les chiffres cités récemment
par Besson lui-même, elle n’a pas manqué de souligner que 580.000
étrangers étaient entrés en France depuis trois ans. « Tous les trois
ans, l’équivalent d’une ville comme Lille entre dans notre pays »,
a-t-elle dit.
Marine Le Pen, calme et souriante face un Besson tremblotant et
visiblement mal à l’aise, et sans argument sérieux, a aussi dénoncé
« l’escalade » des revendications communautaristes, assurant que
certaines cantines scolaires ne servaient plus de porc et que des
groupes religieux réclamaient des « mosquées-cathédrales. »
« Si vous ne faites pas peur, vous n’avez rien à dire », l’a interrompu Eric Besson. Piètre réponse qui a dû bien faire rire dans les chaumières ceux qui au quotidien vivent les situations évoquées par la représentante du Front National… Décidément très remontée devant les mensonges et les tentatives déplorables d’obstruction de la part d’un Eric Besson vulgaire, elle n’a pas non plus manqué de rappeler que dans ce pays il fallait être polygame pour être prioritaire pour l’obtention d’un logement social. Besson, qui visiblement ne connait pas son sujet, a alors mis au défi l’élue FN de lui citer le cas d’un maire qui appliquerait cette règle. Aussitôt Marine LE PEN cita le nom de Pierre Bédier ! Rico les bas joues soudain se sentit encore plus mal ! Mais ce n’était pas fini. La vice-présidente du Front National enchaîna aussitôt en rappelant l’exemple du dirigeant de L’Oréal récompensé par l’Etat pour avoir fait de la discrimination positive affirmant alors qu’il s’agissait là de « racisme anti-français, antirépublicain et anticonstitutionnel. » Elle termina en affirmant que sur la Burqa, Eric Besson ne cherchait qu’à faire plaisir à la droite sur un problème secondaire.
A la fin du débat, Marine Le Pen a demandé au ministre visiblement tout éberlué combien pesait le fait d’être français.
Besson, tout surpris avoua ne pas comprendre. C’est alors que Marine Le Pen expliqua, brandissant un bulletin de vote du Front national : « ce quepèse être français, ça pèse un gramme, le poids d’un bulletin de vote, ce que vous comptez retirer aux Français, le seul privilège qui leur reste encore. »