Internet : le « taxeur en série » Nicolas Sarkozy frappe à nouveau !
Communiqué de Presse de Marine LE PEN, Vice-présidente exécutive du Front National :
La 22ème taxe Sarkozy depuis 2007 verra bientôt le jour. Elle concernera le « triple play » ou offre triple « internet-téléphone-télévision », déjà choisie par plusieurs millions de foyers Français. D’après les informations disponibles, il s’agira de porter la TVA à 19,6% sur l’intégralité de la facture, contre la moitié aujourd’hui.
Le gouvernement commet une double faute très grave en créant cette nouvelle taxe sur la consommation.
Il
se soumet d’abord comme d’habitude aux diktats de la Commission de
Bruxelles, qui en mars dernier a mis en demeure notre pays de revoir sa
taxation du triple play, au nom de la sacro-sainte « concurrence libre
et non faussée », ce dogme européiste aussi stupide que ravageur.
Ensuite, le gouvernement fait de nouveau porter le fardeau de sa dette
et de ses déficits aux Français modestes, et aux classes moyennes. C’est
une nouvelle fois le pouvoir d’achat des Français qu’on sacrifie, de
surcroît au détriment d’un produit innovant sur lequel notre pays était
en pointe. C’est une nouvelle promesse du candidat Sarkozy qui s’envole.
Marine Le Pen, Vice-Présidente du Front National, demande au gouvernement et à Nicolas Sarkozy de renoncer immédiatement à cette nouvelle taxe et d’épargner des ménages français déjà accablés. Elle leur demande d’avoir pour une fois le courage de résister aux injonctions de l’Union Européenne en ayant le sens de l’intérêt national.
Elle rappelle que la question de la dette et des déficits ne se réglera pas à coups d’impôts et de taxes, mais en révisant en profondeur notre politique économique. Il faut sortir de l’ultralibéralisme qui tue nos industries, établir des protections intelligentes aux frontières pour cesser de subir tous les vents de la mondialisation et bâtir un Etat stratège qui encouragera l’innovation. Seule cette politique nationale et pragmatique permettra la création de richesses et la réduction de nos dettes.